Fingertips (2019)

" A sa dernière visite,

Gye W’ani a accordé notre piano…

 Ses mains sont magiques !

Je l’ai toujours su."

Cette peinture a pour sujet l’appétit du savoir au sein d’un foyer. Il est représenté ici à travers un moment spécial entre un père et sa fille mais aussi grâce à l’énorme cadre accroché au mur.

Nea onnim est le symbol Adinkra du savoir, de la poursuite du savoir et de l’enseignement perpétuel. Il vient du proverbe Akan ‘’Nea Onnim no sua a, ohu’’ signifiant ‘’Celui qui ne sait pas, peut savoir en apprenant’’.

Cette scène correspond au moment où une petite fille découvre sa nouvelle passion et décide de s’y adonner. Il a suffi que son père se mette à jouer du piano pour qu’elle se détourne de son ours en peluche et aille lui demander des leçons de musique.

Son index parle pour elle : ‘’Papa, montre-moi, je veux apprendre’’…

 Le père réalise au même instant qu’une nouvelle mission lui incombe. Une mission qu’il sera fier d’accomplir. Souvenez-vous que la devise de la famille est accrochée au mur ! 😉

Notez aussi que c’est par l’activation du bout de ses propres doigts sur son piano que ce père a activé celui de sa fille. Mais est-ce uniquement le clavier que la petite fille pointe du doigt ou y’a t’il autre chose?

En y regardant de près, vous verrez un autre symbole qui est d’importance dans cette peinture. Il s’agit de ‘’Kyemfere’’, les tessons de poterie. C’est le symbole de l’expérience, du savoir, de l’héritage,

de l’antiquité et de l’humilité. Il véhicule la croyance que l’expérience vient avec l’âge. Ainsi, tout en demandant des leçons de piano, cette enfant, jeune mais déjà pleine de sagesse, affirme sa détermination : ‘’Je suis jeune mais le plus tôt j’apprendrai, mieux ce sera’’, ‘’je veux apprendre avec TOI !’’ Mais elle lui rappelle également que lui n’en a pas fini d’apprendre et qu’il doit continuer à jouer pour continuellement enrichir son talent. Elle encourage son père tout en lui témoignant la confiance qu’elle a en lui…

Je m’arrêterai ici concernant la description de cette peinture. Il y a bien plus à dire mais je choisis de vous laisser continuer à l’explorer par vous-même. Regardez bien ! 😉

Cette peinture a pour sujet l’appétit du savoir au sein d’un foyer. Il est représenté ici à travers un moment spécial entre un père et sa fille mais aussi grâce à l’énorme cadre accroché au mur.

Nea onnim est le symbol Adinkra du savoir, de la poursuite du savoir et de l’enseignement perpétuel. Il vient du proverbe Akan ‘’Nea Onnim no sua a, ohu’’ signifiant ‘’Celui qui ne sait pas, peut savoir en apprenant’’.

Cette scène correspond au moment où une petite fille découvre sa nouvelle passion et décide de s’y adonner. Il a suffi que son père se mette à jouer du piano pour qu’elle se détourne de son ours en peluche et aille lui demander des leçons de musique.

Son index parle pour elle : ‘’Papa, montre-moi, je veux apprendre’’…

 Le père réalise au même instant qu’une nouvelle mission lui incombe. Une mission qu’il sera fier d’accomplir. Souvenez-vous que la devise de la famille est accrochée au mur ! 😉

Notez aussi que c’est par l’activation du bout de ses propres doigts sur son piano que ce père a activé celui de sa fille. Mais est-ce uniquement le clavier que la petite fille pointe du doigt ou y’a t’il autre chose?

En y regardant de près, vous verrez un autre symbole qui est d’importance dans cette peinture. Il s’agit de ‘’Kyemfere’’, les tessons de poterie. C’est le symbole de l’expérience, du savoir, de l’héritage,

de l’antiquité et de l’humilité. Il véhicule la croyance que l’expérience vient avec l’âge. Ainsi, tout en demandant des leçons de piano, cette enfant, jeune mais déjà pleine de sagesse, affirme sa détermination : ‘’Je suis jeune mais le plus tôt j’apprendrai, mieux ce sera’’, ‘’je veux apprendre avec TOI !’’ Mais elle lui rappelle également que lui n’en a pas fini d’apprendre et qu’il doit continuer à jouer pour continuellement enrichir son talent. Elle encourage son père tout en lui témoignant la confiance qu’elle a en lui…

Je m’arrêterai ici concernant la description de cette peinture. Il y a bien plus à dire mais je choisis de vous laisser continuer à l’explorer par vous-même. Regardez bien ! 😉

‘’ A sa dernière visite,

Gye W’ani a accordé notre piano…

 Ses mains sont magiques !

Je l’ai toujours su.’' 

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