" Ces palmiers sont pour nous
de merveilleux amis.
Ils connaissent tous nos secrets de beauté,
et ils les protègent.
Ils voient tous nos gestes de soin
sur peau et cheveux,
mais ils ne répètent jamais rien. A personne.
Et lorsque l’un de nos rituels tombe dans l’oubli,
ils nous mènent à lui. Comment ?
En nous soufflant doucement la marche à suivre
au creux de l’oreille et sur nos épaules.
C’est pour cela que nous chérissons les arbres."
Duafe, le peigne en bois, représenté sur le petit coffre et sur le couvercle du pot marron, est le symbole de la beauté, de l’hygiène féminine, de l’amour et du soin. Je lui ai donné les traits d’une femme transmettant ces valeurs à une enfant qui peut être vue comme sa propre fille, sa petite sœur ou une version plus jeune d’elle-même.
Où sont les produits de beauté ? Pourquoi n’y a-t-il même pas un miroir ? C’est simple. Toutes les femmes sont belles. La beauté que j’évoque ici est une beauté qui se ressent, elle n’est pas seulement basée sur les apparences mais aussi sur le soin de soi. C’est le naturel et la simplicité qui sont mis en valeur ici. La scène se déroule d’ailleurs expressément en extérieur, dans une atmosphère saine.
Les produits de beauté, eux, sont représentés par le produit de référence en Afrique, c’est-à-dire, le beurre de karité. On le trouve généralement sous forme de boulettes de tailles variées comme ici dans la petite calebasse en bois qui, en hommage à mon pays d’origine, le Togo, porte l’inscription Ayokoumi signifiant beurre de karité.
Le beurre de karité nous vient de l’arbre du même nom. Chérissons les arbres pour toute leur bienveillance.
'' Ces palmiers sont pour nous
de merveilleux amis. Ils connaissent tous nos secrets de beauté, et ils les protègent.
Ils voient tous nos gestes de soin sur peau et cheveux, mais ils ne répètent jamais rien. A personne. Et lorsque l’un de nos rituels tombe dans l’oubli, ils nous mènent à lui. Comment ?
En nous soufflant doucement la marche à suivre au creux de l’oreille et sur nos épaules.
C’est pour cela
que nous chérissons les arbres."
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Duafe, le peigne en bois, représenté sur le petit coffre et sur le couvercle du pot marron, est le symbole de la beauté, de l’hygiène féminine, de l’amour et du soin. Je lui ai donné les traits d’une femme transmettant ces valeurs à une enfant qui peut être vue comme sa propre fille, sa petite sœur ou une version plus jeune d’elle-même.
Où sont les produits de beauté ? Pourquoi n’y a-t-il même pas un miroir ? C’est simple. Toutes les femmes sont belles. La beauté que j’évoque ici est une beauté qui se ressent, elle n’est pas seulement basée sur les apparences mais aussi sur le soin de soi. C’est le naturel et la simplicité qui sont mis en valeur ici. La scène se déroule d’ailleurs expressément en extérieur, dans une atmosphère saine.
Les produits de beauté, eux, sont représentés par le produit de référence en Afrique, c’est-à-dire, le beurre de karité. On le trouve généralement sous forme de boulettes de tailles variées comme ici dans la petite calebasse en bois qui, en hommage à mon pays d’origine, le Togo, porte l’inscription Ayokoumi signifiant beurre de karité.
Le beurre de karité nous vient de l’arbre du même nom. Chérissons les arbres pour toute leur bienveillance.
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