" Quelle que soit l’heure et la couleur des cieux,
le soleil brille. Toujours…
Quelle que soit la saison,
le soleil diffuse sa chaleur. Toujours…
Où que nous soyons
et quelles que soient nos épreuves,
tes bras autour de moi
sont comme une étreinte du soleil.
A chaque minute, chaque instant.
Toujours…"
Dans cette œuvre, il est question de la sécurité et de l’abri que procure l’amour au sein d’un couple. Cette idée est portée par le parapluie orné du symbole Eban correspondant à une clôture de maison et représentant amour, sureté et sécurité. Il faut donc y voir plus qu’une protection contre les averses, c’est un rempart contre les adversités de la vie.
Cette sécurité s’inscrit également dans la réciprocité, car cette protection n’est opérationnelle que si les deux éléments du couple y participent en veillant chacun à ce que l’autre soit à l’abri. Ainsi, l’homme porte son aimée dans ses bras, pour qu’elle n’ait pas à marcher sur un sol trempé et boueux, ce qui lui permet à elle, de tenir le parapluie au-dessus de leurs deux têtes. Chacun utilise la force de ses bras pour que l’autre soit protégé. C’est bel et bien une coopération.
Si c’est sur le pantalon de l’homme qu’est représenté Okodee Mmowere (les talons de l’aigle), symbole du pouvoir, de la force et de la bravoure, c’est sur le haut de la femme qu’apparait Ankh, le symbole égyptien de la vie.
Le thème de la réciprocité revient aussi à travers le symbole de l’interdépendance figurant sur le torse de l’homme. Boa Me Na Me Mmoa Wo signifie aide moi et laisse-moi t’aider. Dans cette peinture, il sert à exprimer l’exclusion des stéréotypes sexe fort/ sexe faible au sein de ce couple. Les deux éléments qui le composent apportent l’énergie et la bienveillance qui leur permettront d’avancer ensemble.
Revenons sur l’utilisation du symbole Ankh dans cette peinture. Il s’agit bien d’un symbole égyptien mais qui est très proche de l’apparence des poupées de fertilité Akua’ba utilisées par le peuple Ashanti (Ghana). La civilisation égyptienne antique étant aussi pour moi une source de fascination j’ai tenu à faire un lien entre ces deux cultures par le biais de cette oeuvre qui s’y prêtait parfaitement.
J’ai également inclus un hommage à la reine Néfertiti à travers la tenue vestimentaire du personnage féminin. Le haut qu’elle porte reprend les couleurs de la coiffe du célèbre buste découvert en 1912 à Tal El Amar en Egypte.
Pensez également, en regardant cette peinture, que l’Histoire retient Néfertiti et Akhénaton comme « le couple solaire » en raison de leurs grands accomplissements.
Quelle que soit la couleur du ciel, le soleil brille toujours…
'' Quelle que soit l’heure et la couleur des cieux,le soleil brille. Toujours…
Quelle que soit la saison,
le soleil diffuse sa chaleur. Toujours…
Où que nous soyons
et quelles que soient nos épreuves,
tes bras autour de moi
sont comme une étreinte du soleil.
A chaque minute, chaque instant.
Toujours… ''
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Dans cette œuvre, il est question de la sécurité et de l’abri que procure l’amour au sein d’un couple. Cette idée est portée par le parapluie orné du symbole Eban correspondant à une clôture de maison et représentant amour, sureté et sécurité. Il faut donc y voir plus qu’une protection contre les averses, c’est un rempart contre les adversités de la vie.
Cette sécurité s’inscrit également dans la réciprocité, car cette protection n’est opérationnelle que si les deux éléments du couple y participent en veillant chacun à ce que l’autre soit à l’abri. Ainsi, l’homme porte son aimée dans ses bras, pour qu’elle n’ait pas à marcher sur un sol trempé et boueux, ce qui lui permet à elle, de tenir le parapluie au-dessus de leurs deux têtes. Chacun utilise la force de ses bras pour que l’autre soit protégé. C’est bel et bien une coopération.
Si c’est sur le pantalon de l’homme qu’est représenté Okodee Mmowere (les talons de l’aigle), symbole du pouvoir, de la force et de la bravoure, c’est sur le haut de la femme qu’apparait Ankh, le symbole égyptien de la vie.
Le thème de la réciprocité revient aussi à travers le symbole de l’interdépendance figurant sur le torse de l’homme. Boa Me Na Me Mmoa Wo signifie aide moi et laisse-moi t’aider. Dans cette peinture, il sert à exprimer l’exclusion des stéréotypes sexe fort/ sexe faible au sein de ce couple. Les deux éléments qui le composent apportent l’énergie et la bienveillance qui leur permettront d’avancer ensemble.
Revenons sur l’utilisation du symbole Ankh dans cette peinture. Il s’agit bien d’un symbole égyptien mais qui est très proche de l’apparence des poupées de fertilité Akua’ba utilisées par le peuple Ashanti (Ghana). La civilisation égyptienne antique étant aussi pour moi une source de fascination j’ai tenu à faire un lien entre ces deux cultures par le biais de cette oeuvre qui s’y prêtait parfaitement.
J’ai également inclus un hommage à la reine Néfertiti à travers la tenue vestimentaire du personnage féminin. Le haut qu’elle porte reprend les couleurs de la coiffe du célèbre buste découvert en 1912 à Tal El Amar en Egypte.
Pensez également, en regardant cette peinture, que l’Histoire retient Néfertiti et Akhénaton comme « le couple solaire » en raison de leurs grands accomplissements.
Quelle que soit la couleur du ciel, le soleil brille toujours…
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